Zodiac
Sans Claire Keim. Sans Francis Huster
San Francisco fin 60's. Alors qu'à plein nez les senteurs des french fries du drive-in du coin nous parviennent, qu'on n'attend qu'une chose : que Fonzie déboule, deux blondinettes dansantes aux bras (Mais dans quelle ville "Arnold's" débauchait-il la jeunesse ?.. me souviens plus). Enfin. Il est question du Jack the ripper des US 60's : Zodiac. Il (selon le synopsis) " terrorise la ville et ses alentours, commettant meurtres sur meurtres" : ça ok "tout en narguant les autorités" (ça bon.. je le trouve beaucoup moins fin que tous ses homologues de ciné/TV.. mais il a le mérite d'avoir existé) J'ai l'impression que les tueurs en série de cinéma :| sont bien plus boostés du QI que les vrais.
Toujours est-il que se projetant à SF, on
retombe dans les chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin sans la gay
attitude, les rues de San francisco sans le Golden Gate ni le
moustachu, la fête à la maison sans Rebecca. Bref. Un jeune dessinateur du San Francisco Chronicle est à
fond sur le coup. Evidemment ingénu et pris pour un attardé. Un vieux briscard
responsable des enquêtes/meutres qui se transforme en pseudo pote et finit dans
le scotch (whisky).. mais au même titre que Mafiaboy avait élaboré l'ensemble de
ses plans machiavéliques et mis en oeuvre tout son art de geek warez pirate pour
saouler les hautes administrations ricaines en terme de sécu, bien entendu le
jeune candide résoud l'affaire (oups ai-je exposé la fin de l'histoire !!?? Non
non.. ) enfin il la résoud... il la résoud pour lui et le
cinophile.
On se pose encore la question de
savoir si ce film mène quelquepart. Impossible à
dire pour ma part. Bien mais pas marquant
Construit à la manière de ces real stories dont on précise dans le générique de fin ce que sont devenus les survivants (que sont-ils devenus ???!!)
N’avoir lu aucune critique, n’avoir
– avant la projection - pas l’once d’une idée sur le sujet, avoir ouï dire de
loin qu’il s’agissait de David Fincher dont, si le nom m’évoquait quelquechose
sans savoir quoi, je ne connaissais ni
d’Eve de d’Adam les films d’Antan qu'il avait pu
réaliser. Un point négatif pour moi : une scène franchement violente au poignard..
Wikipédia m'informe de son implication dans la musique et ses grands noms pop eighties. On note la Madonette.. à noter qu'il a aussi produit au moins un film de Guy Ritchie. Je le soupçonne d'avoir joué l'entremeteur le félon...
1985 :
The Beat of the live
drum
1990 :
Madonna : The Immaculate
collection
(Express y, Oh father et
Vogue)
1992 :
Michael Jackson : Who is
it? (vidéo-clip)
1994 :
Aerosmith : Big ones you can look
at
(documentaire musical)
1999 :
Madonna : The Video collection
93:99
(vidéo-clip Bad
girl)
2008 :
The Curious Case of Benjamin
Button (en
tournage)